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22.10.2020

Les nominés ‘Buy-out’ des BVA Private Equity Awards!

Le jeudi 29 octobre, en collaboration avec la Belgian Venture Capital & Private Equity Association (BVA), nous récompenserons des entreprises belges performantes qui ont fait appel au private equity ou venture capital pour financer leur croissance. En raison des circonstances actuelles, un show en ligne sera organisé.

En tant que partenaire de la BVA et cofondateur des Private Equity Awards, nous sommes fiers de participer pour la 3e fois à cette remise. Notre banque hébergera l’événement et siégera au jury. Il y a 3 catégories de prix: «Venture Company of the Year», «Growth Company of the Year» et «Buy-out Company of the Year».

Après vous voir présenté les deux premières catégories, nous avons le plaisir de vous annoncer les nominés de la catégorie Buy-out Company of the Year:

  • Amadys propose des solutions d’équipements de réseaux passifs pour les réseaux de services publics y compris les réseaux télécom fixes et mobiles, les réseaux d’eaux, de gaz et d’électricitétant pour les acteurs industriels en Belgique que dans les pays voisins.
  • CID LINES est un leader dans les désinfectants luttant contre les maladies animales infectieuses. La gamme de produits du groupe comprend une variété de médicaments vétérinaires et une gamme complète de solutions de biosécurité de haute qualité pour les procédures de désinfection et de nettoyage en milieu agricole.
  • Destiny SA est un fournisseur de solutions de communication cloud sécurisées et offre aux entreprises innovantes des services de communication cloud et UcaaS (un service qui rationalise tous les outils de communication d'entreprise). Destiny est le leader des opérateurs alternatifs de télécommunications et le quatrième opérateur B2B en Belgique.

Découvrez les entreprises nominées dans cette petite vidéo. Nous leur souhaitons bonne chance à toutes!

Vous voulez savoir qui l’emportera? Save the date!

Cette année, la remise des prix physique sera remplacée par un événement en ligne diffusé le jeudi 29 octobre 2020 à 17h. Bloquez donc cette date dans votre agenda !

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29.10.2020

Regardez en direct les BVA Private Equity Awards !

Ça y est, c’est aujourd’hui à 17h…. La Belgian Venture Capital & Private Equity Association (BVA) remettra, en collaboration avec notre banque, les awards récompensant les entreprises belges soutenues par du private equity ou du venture capital. Suivez le show via notre livestream.

En tant que partenaire de la BVA et cofondateur des Private Equity Awards, nous attendons cette troisième édition avec impatience. Notre banque accueille l’événement qui, vu les circonstances exceptionnelles, sera un show digital et siège également au jury.

Quelles entreprises repartiront avec les awards ? Ne ratez pas l’annonce des vainqueurs et suivez l’événement via le livestream. Qui sont les nominés ?

Nous leur souhaitons beaucoup de succès !

Cliquez sur le bouton ci-dessous à partir de 17h afin de suivre le show. Veuillez noter que le lien sera actif à partir de 16h55, 5 minutes avant le début du show.

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18.10.2019

Les BVA Awards mettent à l’honneur des entreprises talentueuses et le private equity

Quelles sont les entreprises belges qui, avec le soutien du private equity ou du venture capital, ont connu une croissance remarquable ?

Après le succès de la première édition des BVA Awards en 2018, initiée par BNP Paribas Fortis, également partenaire hôte, l’expérience a été rééditée cette année. En Belgique, le capital-investissement apparaît encore sous-utilisé par rapport à la plupart de nos pays voisins. C’est pourquoi l’association belge du « private equity » (Belgian Venture Capital & Private Equity Association - BVA) a voulu, par ce prix, mettre à l’honneur ces entreprises qui font appel au private equity et réalisent une croissance exceptionnelle.

Le capital-investissement peut être sollicité tout au long du cycle de développement d'une entreprise, trois prix ont donc été décernés dans trois segments distincts : Venture, Croissance et Buy-Out. Le succès des entreprises lauréates est la meilleure preuve que les partenariats noués entre des fonds de « private equity » et des entreprises à fort potentiel peuvent se révéler fructueux. Le 3 octobre dernier, la société d’analyse de données médicales icometrix a décroché le prix dans la catégorie Venture ; le trophée de la catégorie Croissance a été remporté par Guardsquare, le spécialiste de la sécurité des applications, tandis que celui du Buy-out était décerné au leader des thérapies naturelles, Inula .

Découvrez leur portrait :

icometrix, solutions d’intelligence artificielle pour l’imagerie cérébrale

Basée à Louvain, la scale-up icometrix est spécialisée dans l'intelligence artificielle appliquée à l’imagerie cérébrale. En mai 2019, elle a levé 16 millions d'euros supplémentaires auprès de Capricorn Venture Partners, entre autres. Sa solution « icobrain » est capable d’analyser et de quantifier des données extraites d’images du cerveau pour des patients atteints d’affections neurodégénératives, telles que la sclérose en plaques, la maladie d’Alzheimer, l’épilepsie et la démence. Plus de 100 hôpitaux et centres d’imagerie dans le monde utilisent déjà la technologie d'icometrix pour l'analyse de 75 000 scans et IRM du cerveau.

Guardsquare, une croissance exponentielle

Cette tech start-up est le gardien mondial des applications mobiles. Fondée en 2014 par Heidi Rakels, ex-judoka et programmeuse de logiciels, et son mari Eric Lafortune, cerveau technologique de la création de Guardsquare, qui sécurise aujourd’hui 4 milliards d'applications mobiles. Après un premier investissement du pionnier de la haute technologie Jurgen Ingels, les fondateurs ont vendu la majorité des actions au début de cette année à Battery Ventures aux Etats-Unis pour 29 millions de dollars. Le succès de cette entreprise n'est pas passé inaperçu : le consultant Deloitte l'a qualifiée de start-up technologique à la croissance la plus rapide du pays et le 8 octobre, Guardsquare a été sacrée « Scale-up of the Year ».

Inula, “success story” dans les thérapies naturelles

Acteur incontournable des remèdes à base de plantes (aromathérapie, gemmothérapie et fleurs de bach), Inula a été racheté fin 2018 par le fonds d'investissement français Ardian qui en est devenu l’actionnaire majoritaire. Le fonds belge Vendis Capital, de même que Dominique Baudoux (fondateur et président) et Sergio Calendri (CEO) sont toutefois restés à bord. Le montant de la transaction aurait atteint plus de 550 millions d'euros. Il s'agit de l'une des plus importantes opérations de private equity (pour les sociétés non cotées) de ces dernières années en Belgique.

Didier Beauvois, Head of Corporate Banking BNP Paribas Fortis: « Pour notre banque, le private equity est le parfait instrument pour dynamiser l’économie belge. Depuis plus de 30 ans, nous offrons aux entreprises des perspectives de développement, et ce, à chaque étape de leur cycle de vie, que ce soit des start-ups en phase de démarrage, par le biais d'investissements dans des fonds de capital-risque, ou des entreprise établies, via des participations minoritaires directes. Nous sommes intimement convaincus du potentiel de croissance de cette solution de financement et nous sommes heureux de mettre à l’honneur les entreprises qui y recourent. »

 

Découvrez en images cette solution de financement et les gagnants des BVA Awards 2019.

 

Vous êtes entrepreneur et souhaitez en savoir plus sur cette solution de financement ? Consultez notre offre private equity
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20.12.2024

Arval : votre mobilité en 2025

Laurent Mélignon, Corporate Sales Director d’Arval, leader du marché du leasing automobile full-service et en solutions de nouvelle mobilité, parle des perspectives 2025 pour le secteur.

Arval est une entité de la division Commercial, Personal Banking & Services au sein du groupe BNP Paribas. En tant que leader du marché, Arval joue un rôle clé dans l’offre de leasing automobile full-services et de nouvelles solutions de mobilité. Laurent Mélignon, Corporate Sales Director d’Arval, est donc bien placé pour anticiper ce que 2025 nous réserve.

Arval est à la pointe d’un secteur dans lequel beaucoup de choses évoluent : la façon dont les entreprises et les particuliers pensent et gèrent la mobilité est de moins en moins classique. Laurent Mélignon y voit plusieurs causes : « Dans notre pays, la fiscalité est le principal moteur de nombreux processus de changement. Cette fiscalité est liée au coût salarial : de nombreuses entreprises considèrent les voitures de société comme une alternative fiscalement avantageuse pour maximiser la rémunération qu’elles octroient à leur personnel. Les membres du personnel la considèrent aussi comme une manière concrète et tangible d’être rémunérés, sans craindre un impact supplémentaire fiscal. C’est dans cette logique que le cadre fiscal s’adaptera en 2025, en phase avec l’évolution de notre société. Le budget mobilité fédéral et l’indemnité vélo, par exemple, ou des options comme le plan cafétéria ou le plan flex-income : voici quelques-unes des solutions dont disposent les entreprises pour un package salarial motivant pour leurs équipes. »

Mais le Corporate Sales Director d’Arval identifie bien d’autres moteurs de changement pour la mobilité. Laurent Mélignon : « Toute notre culture de la mobilité est en train de changer – et cette tendance sera toujours bien présente en 2025. La jeune génération est beaucoup moins attachée à la voiture de société, et ce depuis des années. Les jeunes apprécient de se déplacer en vélo, en bus ou en voiture partagée – en fonction, bien sûr, d’où est installée leur entreprise. Et il y aussi des facteurs macroéconomiques qui expliquent ce changement. Je pense à l’augmentation des embouteillages dans de nombreuses villes, mais aussi à la prise de conscience de plus en plus forte par la population et les acteurs économiques de l’importance de la transition énergétique. Petit à petit, nous comprenons tous la nécessité d’un changement écologique et d’autres choix de mobilité. C’est depuis un certain temps devenu une évidence. »

Une complexité flexible

Le mix de mobilité va devenir de plus en plus important. Laurent Mélignon : « C’est un axe essentiel de notre mission : être et rester une solution tout-en-un, qui offre aux entreprises la possibilité de penser en termes de rémunération flexible. Un nouveau travailleur, par exemple un célibataire sans enfants, a d’autres besoins de mobilité qu’un collègue parent de 2 enfants et qui a une maison à la campagne ou en ville. À l’heure où ce besoin devient de plus en plus important, Arval est le partenaire idéal pour proposer aux entreprises de l’accompagnement et du know-how. Nous permettons aux employeurs d’offrir de la flexibilité en tenant compte de sa complexité. »

Une attitude positive

Laurent Mélignon pense que la transition vers la mobilité électrique continuera à monter en puissance en 2025 : « Dans les entreprises, je vois que 80% des nouvelles commandes sont électriques. Par rapport au marché privé où la part est inférieure à 20%, c’est énorme. L’électrification de la flotte belge est donc surtout portée par les entreprises. Je vois qu’il y a déjà des annonces et des initiatives pour adapter et affiner encore légèrement le budget mobilité fédéral. Il est donc possible que, dans les mois à venir, de plus en plus de personnes délaissent leur voiture de société et adhèrent à ce budget adapté. Ici aussi, Arval veut se préparer avec un état d’esprit positif et beaucoup de savoir-faire, dans notre rôle de ’full mobility provider’. »

Le point de basculement

Selon Laurent Mélignon, le tournant tant attendu vers la mobilité électrique, que le marché attend depuis si longtemps, aura également des conséquences pour les entreprises : « Nous pouvons en effet nous attendre à l’arrivée d’un plus grand nombre de modèles abordables en 2025. La conduite électrique ne sera plus réservée aux happy few. C’est bon pour le marché privé, mais cela offre également plus de possibilités aux entreprises. De plus, je m’attends à ce que le prix des voitures à moteur thermique augmente. Nous recevons souvent ce feed-back du côté des constructeurs. En raison des normes CAFE (Corporate Average Fuel Economy) qui régulent leurs émissions de CO2, ceux-ci devront bientôt payer d’énormes amendes en cas de non-respect. Ils ont donc tout intérêt à orienter le marché vers l’électrique. Ils adapteront aussi leurs capacités de production en conséquence : à partir de l’année prochaine, la production sur commande deviendra la norme dans le secteur, plutôt que la constitution de stocks conséquents. »

Un scénario pour le futur

Enfin, en tant que société de leasing, Arval voit également dans un avenir proche le marché s’ouvrir aux petites et moyennes entreprises ainsi qu’aux clients particuliers. Laurent Mélignon : « Selon nous, l’évolution du marché aura pour conséquence que de nombreuses entreprises, qui optent encore aujourd’hui pour l’achat ou le leasing financier de voitures de société, se tourneront vers le leasing opérationnel. Et ça veut aussi dire qu’ils sous-traiteront notamment chez nous le risque lié à la valeur résiduelle. Dans ce contexte, nous assumons pleinement notre rôle de leader du marché : c’est un scénario qui nous semble réaliste à court terme et auquel nous nous préparons déjà pleinement. »

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16.12.2024

« La fracture numérique a la vie dure »

« Les personnes âgées, mais aussi les jeunes et les actifs manquent de compétences numériques », explique Linde Verheyden, Director Public Affairs chez BNP Paribas Fortis et présidente de DigitAll.

Malgré la digitalisation croissante, de nombreuses personnes sont laissées sur le carreau. En Belgique, 40% de la population âgée de 16 à 74 ans est exposée au risque d’exclusion numérique. Si les personnes âgées sont souvent considérées comme le groupe le plus vulnérable, il s’avère que les jeunes ont aussi des difficultés avec le numérique. Près d’un tiers des jeunes de 16 à 24 ans ont des compétences numériques faibles, avec un pic de 52% chez les jeunes peu diplômés.

Ce sont des chiffres plutôt surprenants. Les jeunes sont quand même nés avec des outils numériques ?

« On dit souvent que les jeunes sont « digital natives » parce qu’ils savent utiliser les réseaux sociaux. Mais créer une vidéo TikTok ou scroller sur Instagram ne signifie pas que l’on est capable d’effectuer des opérations bancaires en ligne ou de remplir un formulaire de candidature. »

La pauvreté joue aussi un rôle important dans le fracture numérique.

« Absolument. Pour 25% des personnes en situation de pauvreté, le smartphone est le seul appareil numérique qu’elles possèdent. S’il offre une certaine forme d’accès de base, le smartphone est néanmoins souvent inadapté pour réaliser des tâches essentielles : rédiger un CV, introduire sa déclaration fiscale... Sans ordinateur ni Internet stable, de nombreuses portes numériques restent fermées. »

Quelles sont les autres raisons qui expliquent cette fracture numérique ?

« Souvent, les gens manquent des compétences numériques nécessaires. Ils n’ont jamais appris à effectuer des tâches basiques, comme utiliser un moteur de recherche, ajouter une pièce jointe à un e-mail ou télécharger une app. Sans ces connaissances, le monde numérique leur est inaccessible. Et puis il y a le stress numérique. La peur de commettre des erreurs, d’être piraté ou de compromettre sa vie privée est dissuasive pour beaucoup. Même si elles ont les compétences requises, certaines personnes choisissent délibérément de ne pas utiliser les services numériques. La technologie suscite chez elles la méfiance et l’inquiétude, ce qui crée une barrière importante. »

Quel rôle les entreprises peuvent-elles jouer pour combler ce fossé ?

« Les entreprises peuvent jouer un rôle clé à différents niveaux. Il s’agit non seulement d’un problème social, mais aussi d’un défi économique. Aujourd’hui, les personnes moins axées sur le numérique sont à la fois des clients et des travailleurs potentiels. Prendre conscience de cela en tant qu’entreprise, c’est la première étape, mais aussi de la plus importante. Mais il faut aussi soutenir les travailleurs. Un exemple ? Les collaborateurs du service Espaces verts de la Ville de Gand ont reçu une formation pour remplir leur déclaration fiscale en ligne. De telles initiatives permettent aux participants d’acquérir des compétences pratiques et d’avoir davantage confiance en eux. Enfin, les entreprises doivent effectuer un check du know-how numérique. Mesurer, c’est savoir. Ce n’est pas parce que quelqu’un travaille tous les jours sur un ordinateur portable qu’il a de bonnes compétences numériques. »

Que fait concrètement BNP Paribas Fortis pour favoriser l’inclusion numérique ?

« Plusieurs initiatives sont développées. En 2020, nous avons créé DigitAll, une plateforme de partage des connaissances et des bonnes pratiques en matière d’inclusion numérique. Nous y rassemblons aujourd’hui plus de 130 organisations. DigitAll a par exemple développé une check-list qui permet aux entreprises de tester l’accessibilité de leurs applications et sites web. Pour les personnes ayant des compétences numériques plus faibles, faire face à une interface simple peut faire toute la différence. Depuis 2021, la banque soutient également une chaire de la VUB qui étudie le lien entre l’inclusion numérique et les droits humains. »

Quelle est l’importance des outils à cet égard ?

« Avoir des outils conviviaux est indispensable. C’est pour ça que nous collaborons avec Emporia, un fabricant de smartphones conviviaux destinés aux utilisateurs moins à l’aise avec le numérique. Lorsqu’un client achète un smartphone de ce type, nous préinstallons notre app pour lui sur ce smartphone. »

Nous avons évoqué le stress numérique : comment lutter contre celui-ci ?

« Par le biais de campagnes de sensibilisation. Nous voulons que nos clients utilisent nos outils en toute confiance. La banque se soucie aussi de ses clients moins compétents sur le plan numérique. Grâce au partenariat conclu avec bpost, tous les clients peuvent se rendre dans le bureau de poste de leur village pour toutes les opérations bancaires de base. »

Les entreprises ont-elles donc tout intérêt à favoriser l’inclusion numérique ?

« C’est certain. L’inclusion numérique exige des efforts continus, y compris de la part des pouvoirs publics et des établissements scolaires. Personne ne peut être laissé de côté. Les entreprises qui agissent aujourd’hui contribuent non seulement à une société meilleure, mais aussi à leur propre avenir dans un monde de plus en plus numérique. » 

« Sans de solides compétences digitales, de nombreuses portes numériques restent fermées. »
« Pour les personnes ayant des compétences numériques plus faibles, faire face à une interface simple peut faire toute la différence. »
« Des compétences digitales limitées sont un obstacle pour combler la fracture numérique. »

Linde Verheyden, Director Public Affairs chez BNP Paribas Fortis et présidente de DigitAll

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